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Culture
: publiĂŠ Samedi, le 12/04/2025 par
NKURUNZIZA DieudonnĂŠ
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Cet ĂŠvĂŠnement ĂŠtait placĂŠ sous le signe de lâĂŠchange culturel, de la coopĂŠration ĂŠducative et de lâamitiĂŠ sino-burundaise.
Dans son mot dâouverture, Madame Cong Yan, directrice chinoise de lâInstitut Confucius de lâUniversitĂŠ du Burundi, a exprimĂŠ sa profonde reconnaissance envers tout le personnel, les enseignants et travailleurs chinois qui ont contribuĂŠ au dĂŠveloppement de lâInstitut Confucius en particulier, et de lâUniversitĂŠ du Burundi en gĂŠnĂŠral.
ÂŤ Ils sont non seulement les pionniers des ĂŠchanges linguistiques et culturels, mais ĂŠgalement les bâtisseurs du pont dâamitiĂŠ entre la Chine et le Burundi Âť, a-t-elle soulignĂŠ.
Elle sâest rĂŠjouie des avancĂŠes significatives enregistrĂŠes dans les activitĂŠs dâenseignement et de promotion de la culture chinoise. Elle a assurĂŠ que lâInstitut continuera Ă travailler sans relâche pour construire une plateforme de services linguistiques et culturels ouverte Ă tous, favorisant la connexion, lâinnovation et la comprĂŠhension mutuelle entre les peuples.
ÂŤ Nous voulons que les cultures chinoise et burundaise sâenrichissent mutuellement et que les Chinois continuent de servir le monde Ă travers le partage de leur langue et de leur culture Âť, a-t-elle ajoutĂŠ.
đđ đ˘đŞđ¨đđŚđŞđ đđ¤đ˘đ˘đ đĽđđ¨đ¨đđ§đđĄđĄđ đđŁđŠđ§đ đĄđđ¨ đĽđđŞđĽđĄđđ¨
Les ĂŠtudiants de lâInstitut Confucius ont interprĂŠtĂŠ des chansons chinoises en y apportant la chaleur et la sensibilitĂŠ propres Ă la culture burundaise.
ÂŤ Avec leurs voix, ils transcendent les barrières linguistiques grâce au charme universel de la musique, ce don qui voyage Ă travers le temps et lâespace. Ils nous font entendre les voix de la Chine, les voix du Burundi, les voix du passĂŠ, du futur et du cĹur Âť, a dĂŠclarĂŠ la directrice.
Le Recteur adjoint de lâUniversitĂŠ du Burundi, Emery Niyukuri, a, quant Ă lui, saluĂŠ les efforts de lâInstitut Confucius dans lâorganisation dâune sĂŠrie dâactivitĂŠs culturelles, mĂŞlant chants et danses traditionnelles burundaises et chinoises, symboles vivants du dialogue interculturel.
Il a rappelĂŠ lâimportance de lâInstitut Confucius dans la diffusion non seulement de la langue et la culture chinoises, mais aussi de la culture burundaise, Ă travers des cours et des ĂŠvĂŠnements culturels enrichissants.
đđŁđ đđ¤đ¤đĽđĚđ§đđŠđđŤđ đĚđđŞđđđŠđđŤđ đđ đĽđĄđŞđ¨ đđŁ đĽđĄđŞđ¨ đđ¤đ§đŠđ
PrĂŠsent Ă cette cĂŠlĂŠbration, M. Yan Wenchang, chargĂŠ du dĂŠpartement politique Ă lâAmbassade de Chine au Burundi, a tenu Ă fĂŠliciter tous les laurĂŠats et finalistes, ainsi que lâUniversitĂŠ du Burundi et lâInstitut Confucius pour la rĂŠussite de cet ĂŠvĂŠnement et leur engagement constant.
ÂŤ Ce concours, bien que centrĂŠ sur la chanson, va bien au-delĂ dâun simple spectacle culturel. Il reprĂŠsente une interaction dynamique entre deux cultures, portĂŠe par la jeunesse. Âť
Il a mis en lumière le grand intĂŠrĂŞt des jeunes Burundais pour la langue, lâart et la musique chinoise, tout en soulignant que les danses rituelles burundaises, notamment celle au tambour royal, fascinent ĂŠgalement de nombreux Chinois.
Des exemples concrets illustrent cette rĂŠciprocitĂŠ : un enseignant chinois de lâInstitut interprĂŠtant une chanson burundaise, ou encore des ĂŠtudiants burundais interprĂŠtant des chansons chinoises ÂŤ Ces ĂŠchanges sont les piliers dâune amitiĂŠ sincère et durable entre nos deux pays. Âť
đđĄđŞđ¨ đđ 30 000 đđĽđĽđ§đđŁđđŁđŠđ¨ đđ¤đ§đ˘đĚđ¨ đđđĽđŞđđ¨ đĄđ đđ§đĚđđŠđđ¤đŁ
Yan Wenchang a saluĂŠ la coopĂŠration ĂŠducative fructueuse entre la Chine et le Burundi. Depuis sa crĂŠation il y a plus de dix ans, lâInstitut Confucius de lâUniversitĂŠ du Burundi a dĂŠjĂ formĂŠ environ 30 000 apprenants. Et cette annĂŠe, un dĂŠpartement de langue chinoise a officiellement vu le jour Ă lâUniversitĂŠ du Burundi, fruit de cette collaboration solide.
Chaque annĂŠe, de nombreux ĂŠtudiants burundais obtiennent des bourses pour poursuivre leurs ĂŠtudes en Chine. Une fois de retour, ils sâintègrent dans divers secteurs pour contribuer Ă la rĂŠalisation de la Vision Burundi 2040 et 2060.
đ'đĚđđđđŁđđ đđŞđĄđŠđŞđ§đđĄ, đ˘đ¤đŠđđŞđ§ đđ đ§đđĄđđŠđđ¤đŁđ¨ đđŁđŠđ§đ đĄđđ¨ đĽđđŞđĽđĄđđ¨
Enfin, le reprĂŠsentant de lâambassade de Chine a insistĂŠ sur lâimportance de la culture comme lien durable entre les nations :
ÂŤ LâĂŠchange culturel et lâapprentissage mutuel sont les forces les plus fiables pour renforcer les relations entre pays. Ce concours nâest quâun microcosme de lâamitiĂŠ sino-burundaise. Les jeunes de nos deux pays se respectent, apprĂŠcient la culture de lâautre et participent activement au dĂŠveloppement des relations bilatĂŠrales. Âť