𝘿𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙚 𝙘𝙖𝙙𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙡’𝙚́𝙫𝙖𝙡𝙪𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙡’𝙚́𝙩𝙖𝙩 𝙙𝙚𝙨 𝙖𝙥𝙥𝙧𝙚𝙣𝙩𝙞𝙨𝙨𝙖𝙜𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙙𝙚𝙨 𝙞𝙢𝙥𝙖𝙘𝙩𝙨 𝙙𝙪 𝙥𝙧𝙤𝙟𝙚𝙩 𝙋𝘼𝘾𝙀𝙅 (𝙋𝙧𝙤𝙟𝙚𝙩 𝙙’𝘼𝙥𝙥𝙪𝙞 𝙖̀ 𝙡'𝘼𝙢𝙚́𝙡𝙞𝙤𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚𝙨 𝘾𝙤𝙢𝙥𝙚́𝙩𝙚𝙣𝙘𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙡’𝙀𝙢𝙥𝙡𝙤𝙮𝙖𝙗𝙞𝙡𝙞𝙩𝙚́ 𝙙𝙚𝙨 𝙁𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙙𝙚𝙨 𝙅𝙚𝙪𝙣𝙚𝙨), 𝙪𝙣𝙚 𝙙𝙚́𝙡𝙚́𝙜𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙪 𝙢𝙞𝙣𝙞𝙨𝙩𝙚̀𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙡’𝙀́𝙙𝙪𝙘𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙖𝙡𝙚 𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙍𝙚𝙘𝙝𝙚𝙧𝙘𝙝𝙚 𝙨𝙘𝙞𝙚𝙣𝙩𝙞𝙛𝙞𝙦𝙪𝙚, 𝙚𝙣 𝙘𝙤𝙡𝙡𝙖𝙗𝙤𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙡𝙖 𝘽𝙖𝙣𝙦𝙪𝙚 𝙢𝙤𝙣𝙙𝙞𝙖𝙡𝙚, 𝙖 𝙚𝙛𝙛𝙚𝙘𝙩𝙪𝙚́ 𝙪𝙣𝙚 𝙫𝙞𝙨𝙞𝙩𝙚, 𝙡𝙚 14 𝙖𝙫𝙧𝙞𝙡 2025, 𝙖𝙪𝙭 𝙚́𝙘𝙤𝙡𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙢𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙧𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙪𝙣𝙚 𝙄𝙨𝙖𝙧𝙚, 𝙚𝙣 𝙥𝙧𝙤𝙫𝙞𝙣𝙘𝙚 𝙙𝙚 𝘽𝙪𝙟𝙪𝙢𝙗𝙪𝙧𝙖. 𝘾𝙚𝙩𝙩𝙚 𝙫𝙞𝙨𝙞𝙩𝙚 𝙫𝙞𝙨𝙖𝙞𝙩 𝙖̀ 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙩𝙖𝙩𝙚𝙧 𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙧𝙤𝙜𝙧𝙚̀𝙨 𝙧𝙚́𝙖𝙡𝙞𝙨𝙚́𝙨 𝙥𝙖𝙧 𝙡𝙚𝙨 𝙟𝙚𝙪𝙣𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙡𝙚𝙨 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙗𝙚́𝙣𝙚́𝙛𝙞𝙘𝙞𝙖𝙞𝙧𝙚𝙨 𝙙𝙪 𝙥𝙧𝙤𝙟𝙚𝙩 𝙞𝙣𝙩𝙞𝙩𝙪𝙡𝙚́ 𝙈𝙤𝙣 𝙢𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙧, 𝙢𝙤𝙣 𝙖𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧, 𝙛𝙞𝙣𝙖𝙣𝙘𝙚́ 𝙥𝙖𝙧 𝙡𝙖 𝘽𝙖𝙣𝙦𝙪𝙚 𝙢𝙤𝙣𝙙𝙞𝙖𝙡𝙚, 𝙚𝙩 𝙖̀ 𝙧𝙚𝙘𝙪𝙚𝙞𝙡𝙡𝙞𝙧 𝙡𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙩𝙚́𝙢𝙤𝙞𝙜𝙣𝙖𝙜𝙚𝙨 𝙨𝙪𝙧 𝙡𝙚𝙨 𝙩𝙧𝙖𝙣𝙨𝙛𝙤𝙧𝙢𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨 𝙤𝙥𝙚́𝙧𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙚𝙪𝙧 𝙦𝙪𝙤𝙩𝙞𝙙𝙞𝙚𝙣.

𝑫𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕𝒔 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒃𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒆𝒏𝒄𝒐𝒖𝒓𝒂𝒈𝒆𝒂𝒏𝒕𝒔

Les bénéficiaires ont exprimé leur satisfaction profonde, affirmant que le projet a changé leur vie. Grâce aux formations reçues, notamment en agriculture, élevage et soudure, ces jeunes et femmes ont pu développer des activités génératrices de revenus, acquérir de nouvelles compétences, et surtout, devenir des références techniques dans leur communauté.
L’administrateur communal d’Isare, Gilbert Niyonkuru, s’est félicité de l’impact positif du projet dans sa commune, soulignant que ces formations viennent renforcer l’employabilité locale et encourager l’entrepreneuriat.

𝙐𝙣𝙚 𝙫𝙞𝙨𝙞𝙩𝙚 𝙢𝙖𝙧𝙦𝙪𝙖𝙣𝙩𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡𝙖 𝘽𝙖𝙣𝙦𝙪𝙚 𝙢𝙤𝙣𝙙𝙞𝙖𝙡𝙚

Présente lors de cette visite, la représentante de la Banque mondiale au Burundi, Hawa Cissé Wagué, a exprimé son enthousiasme face aux réalisations observées :
«C’était un grand plaisir de visiter la commune d’Isare et de découvrir les fruits du projet PACEJ. J’ai été particulièrement impressionnée par la participation massive des femmes, y compris dans des métiers non traditionnels comme la soudure, et par l’engagement des jeunes qui, en moins d’un an, ont commencé à générer des revenus à travers les compétences acquises.»
Elle a également salué la dynamique entrepreneuriale naissante, citant l’exemple d’un agriculteur qui a su créer une chaîne de valeur complète et intégrer d’anciens apprentis dans un projet collectif prometteur.

𝙐𝙣 𝙥𝙧𝙤𝙟𝙚𝙩 𝙖̀ 𝙛𝙤𝙧𝙩 𝙞𝙢𝙥𝙖𝙘𝙩 𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙖𝙡

Le secrétaire permanent au ministère de l’Éducation, Herménégilde Burikukiye, a quant à lui souligné l’importance stratégique du PACEJ pour le pays :
« Ces jeunes produisent déjà dans la vie réelle, et cela montre combien cette formation professionnelle est essentielle pour l’avenir du Burundi. »
Le projet PACEJ est actuellement mis en œuvre dans 30 écoles d’enseignement des métiers à travers le pays, et son impact sur l’autonomisation économique et la création d’emplois est déjà palpable.

𝙐𝙣𝙚 𝙞𝙣𝙞𝙩𝙞𝙖𝙩𝙞𝙫𝙚 𝙥𝙤𝙧𝙩𝙚𝙪𝙨𝙚 𝙙’𝙚𝙨𝙥𝙤𝙞𝙧

Le projet PACEJ se présente ainsi comme un levier majeur de développement socio-économique, combinant renforcement des capacités, inclusion des femmes, entrepreneuriat local, et création d’emplois. Il constitue une illustration concrète des effets bénéfiques d’un investissement dans la formation professionnelle adaptée aux besoins du marché et aux ambitions des jeunes générations.