𝘿𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙖 𝙥𝙧𝙤𝙫𝙞𝙣𝙘𝙚 𝙙𝙚 𝙍𝙪𝙩𝙖𝙣𝙖, 𝙡𝙚𝙨 𝙘𝙝𝙖𝙢𝙥𝙨 𝙙𝙚 𝙢𝙖𝙞̈𝙨, 𝙢𝙖𝙣𝙞𝙤𝙘 𝙚𝙩 𝙖𝙣𝙖𝙣𝙖𝙨 𝙨'𝙚́𝙩𝙚𝙣𝙙𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙪𝙧 𝙡𝙚𝙨 161 𝙘𝙤𝙡𝙡𝙞𝙣𝙚𝙨 𝙦𝙪𝙞 𝙘𝙤𝙢𝙥𝙤𝙨𝙚𝙣𝙩 𝙡𝙖 𝙧𝙚́𝙜𝙞𝙤𝙣. 𝙍𝙚́𝙘𝙚𝙢𝙢𝙚𝙣𝙩, 𝙪𝙣𝙚 𝙣𝙤𝙪𝙫𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙘𝙪𝙡𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙖 𝙛𝙖𝙞𝙩 𝙨𝙤𝙣 𝙖𝙥𝙥𝙖𝙧𝙞𝙩𝙞𝙤𝙣: 𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙡𝙢𝙞𝙚𝙧 𝙖̀ 𝙝𝙪𝙞𝙡𝙚. 𝘾𝙚 𝙙𝙚́𝙫𝙚𝙡𝙤𝙥𝙥𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙖𝙜𝙧𝙞𝙘𝙤𝙡𝙚 𝙚𝙨𝙩 𝙨𝙤𝙪𝙩𝙚𝙣𝙪 𝙥𝙖𝙧 𝙙'𝙞𝙢𝙥𝙤𝙧𝙩𝙖𝙣𝙩𝙨 𝙞𝙣𝙫𝙚𝙨𝙩𝙞𝙨𝙨𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨 𝙥𝙧𝙞𝙫𝙚́𝙨, 𝙤𝙛𝙛𝙧𝙖𝙣𝙩 𝙖𝙞𝙣𝙨𝙞 𝙙𝙚𝙨 𝙤𝙥𝙥𝙤𝙧𝙩𝙪𝙣𝙞𝙩𝙚́𝙨 𝙙'𝙚𝙢𝙥𝙡𝙤𝙞𝙨 𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙘𝙧𝙤𝙞𝙨𝙨𝙖𝙣𝙘𝙚 𝙚́𝙘𝙤𝙣𝙤𝙢𝙞𝙦𝙪𝙚.

𝙇𝙚 𝙥𝙖𝙡𝙢𝙞𝙚𝙧 𝙖̀ 𝙝𝙪𝙞𝙡𝙚 : 𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙪𝙡𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙚𝙣 𝙥𝙡𝙚𝙞𝙣𝙚 𝙚𝙭𝙥𝙖𝙣𝙨𝙞𝙤𝙣

La culture du palmier à huile se développe rapidement à Rutana. Sur la colline Nkurye, la société Mugabo exploite déjà 125 hectares dédiés à cette production. Sur la colline Nyamateke, le ministre Martin Niteretse possède plus de 100 hectares de palmiers à huile, illustrant ainsi l’engagement des acteurs privés et publics dans le secteur agricole.
L’administration communale affirme que cette expansion génère de nombreux emplois pour la population locale.

𝙇𝙖 𝙥𝙧𝙤𝙙𝙪𝙘𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙’𝙖𝙣𝙖𝙣𝙖𝙨 𝙛𝙧𝙚𝙞𝙣𝙚́𝙚 𝙥𝙖𝙧 𝙡𝙚 𝙢𝙖𝙣𝙦𝙪𝙚 𝙙’𝙚́𝙡𝙚𝙘𝙩𝙧𝙞𝙘𝙞𝙩𝙚́

En commune Musongati, l’agriculture de l’ananas prospère. Selon l’administratrice de cette commune, Claudine Niyoyitungira, la coopérative COOPEDEI transforme quotidiennement 1,5 tonne d’ananas en jus. Toutefois, l’absence d’électricité dans la région freine cette production. Le président de la coopérative Korerimana, appelle ainsi le Gouvernement à soutenir l’électrification de cette localité, afin de maximiser le potentiel de transformation.

𝙇𝙚 𝙢𝙖𝙣𝙞𝙤𝙘, 𝙪𝙣 𝙡𝙚𝙫𝙞𝙚𝙧 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡𝙖 𝙨𝙚́𝙘𝙪𝙧𝙞𝙩𝙚́ 𝙖𝙡𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩𝙖𝙞𝙧𝙚

Sur la colline Nyamabuye en commune Gitanga, Thomas Nteziryayo, multiplicateur semencier soutenu par le projet SESA du ministère de l’Agriculture, cultive un champ de manioc de 5 hectares. Il estime que cette initiative contribue à une agriculture durable et à la sécurité alimentaire. L’administrateur de Gitanga, Onésime Nkengurutse, se félicite des niveaux de production de manioc, mais encourage les investisseurs à implanter des usines de transformation pour mieux valoriser cette culture.

𝙇𝙚𝙨 𝙖𝙪𝙩𝙤𝙧𝙞𝙩𝙚́𝙨 𝙡𝙤𝙘𝙖𝙡𝙚𝙨 𝙚𝙣𝙜𝙖𝙜𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙖 𝙢𝙤𝙙𝙚𝙧𝙣𝙞𝙨𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙖𝙜𝙧𝙞𝙘𝙤𝙡𝙚

A Mika, l’administrateur de Rutana possède un champ de maïs de 3 hectares, illustrant l’engagement des autorités locales dans la promotion de l’agriculture. Ces initiatives s’inscrivent dans la politique agricole prônée par le Président Evariste Ndayishimiye.

L’administrateur de Gitanga Onésime Nkengurutse, renouvelle son appel aux investisseurs pour la mise en place d’unités de transformation, essentielles à la valorisation de la production locale de manioc et au développement économique de la région.