MINEAGRIE: des stratégies pour mieux débuter la saison culturale A
Société
: publié Jeudi, le 19/09/2019 par
NKURUNZIZA Dieudonné
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Le ministre de l'environnement, de l'agriculture et de l'élevage Déo Guide Rurema a rencontré jeudi 19 septembre 2019, les partenaires, les représentants des ONGs locales et internationales œuvrant dans les domaines de l'environnement, de l'agriculture et de l'élevage.
L'objectif de la réunion était de renforcer la coordination des interventions dans ces domaines en vue d'arrêter des stratégies nécessaires pour mieux débuter la saison culturale A.
Selon le ministre Rurema, il était également question de rappeler la mission que le Gouvernement a confié au ministère d'assurer la sécurité alimentaire pour toute la population burundaise et pour les étrangers vivant au Burundi pas seulement en qualité mais également en quantité.
Le ministère est très fier qu'il s'est approprié les défis et les difficultés mais aussi les opportunités dont il dispose pour accomplir cette tâche.
C'est dans cette perspective que le ministère de l'environnement, de l'agriculture et de l'élevage a organisé cette réunion à l'endroit de ses partenaires, au moment où il se remarque que beaucoup de financements circulent surtout dans le monde rural avec les ONGs, a expliqué le Ministre Rurema. Et d’ajouter que leurs interventions méritent d'être coordonnées pour beaucoup plus d'efficacité et pour plus d'efficience. Une cellule de coordination des partenaires a été mise en place à cet effet, a précisé le ministre en charge de l’agriculture.
Il a fait savoir que c’est pour lui une évidence de poursuivre la droite ligne tracée par le Gouvernement du Burundi en s'appuyant sur le PNIA, le SANIA, le SAN et surtout dans le Programme National de Développement (PND)2018-2027 qui montre le chemin vers le développement durable.
La coordination, la planification conjointe sont des éléments qui aideront pour atteindre ces objectifs tout en s'alignant sur les domaines d'interventions prioritaires du ministère et du Gouvernement, a conclu le Ministre Rurema.
Ces partenaires et ONGs ont été ému car selon le ministre, ils ont remarqué que sur le terrain, leur travail était en vase clos, de manière isolée ce qui entraîne la perte d'énergie et de financement.